Comme beaucoup en France (et en Europe), les seuls que j’avais gouté étaient les cubes industriels vendus en boite, dans des épiceries turques, orientales ou parfois dans certains supermarchés.
Cela ne m’a jamais donné envie de retenter l’expérience de ces bonbons turcs.
On refuse poliment ces délices orientaux pourtant si beaux gentiment proposé. Mais le vendeur insiste « no sweet, no sweet, very good very good », pour nous indiquer que c’était peu sucré.
Cela ressemblait à de la confiserie orientale dont je ne suis pas particulièrement fan, voyant une brève hésitation de notre part, l’homme anticipe et coupe au ciseau (ciseau à loukoum) un petit morceau et nous le temps.
Visuellement il fallait dire que cela donnait très envie, c’était surtout le sucre qui m’inquiétait.
Mon épouse goûte, et là je vois son visage changer d’expression instantanément et elle me tend un morceau tout en essayant de dissimuler qu’elle a vraiment apprécié.
Je refuse.
Elle insiste, je campe sur mes positions :
« Non c’est trop sucré, tu sais que je n’aime pas ça »